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On parle parfois de paix, parfois de violences, avec des amis et connaissances, ou avec des gens qu’on rencontre une première fois. Ces deux thèmes, pourtant si intimement liés, suscitent des émotions très opposées. Si on mentionne la violence, les gens maugréent ou ferment les yeux, s’indignent ou se replient, froncent les sourcils ou haussent les épaules. Si on évoque un engagement pour la paix, l’oeil de l’autre se vivifie, le regard devient chaleureux et mille idées surgissent: faire un petit spectacle, un concours pour les jeunes, une association de peintres engagés, un groupe d’enseignants, un événement médiatique ou un travail social. Et des liens d’amitié se tissent. Cela mène à quelques réflexions de fond:
Qu’est-ce qui fait que la balance bascule, d’un climat social paisible à une spirale de violence, ou d’un abîme de violence vers un état de paix? • Quel est le poids des gens ordinaires paisibles et celui des gens ordinaires violents dans cette bascule? • Qu’est-ce qui est plus efficace pour éviter une spirale de violence? Rester silencieux, lisse? Critiquer la violence, la punir? Inspirer les autres par son engagement?