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Lumière et vie paraissent indissociables. Comme nuit et mort, d'ailleurs. Ainsi a voulu le destin de l'Univers, du moins celui de notre planète.
Ce court préambule permet d'aborder le thème de la lumière électrique dans nos rues. Sachant que le soleil, source de lumière, indispensable aux humains comme au moindre brin d'herbe, est la nuit substitué par la lumière électrique, celle-ci représente le confort de nos sorties nocturnes et un gaspillage qui, ajouté à tous ceux qui augmentent le carbone, «assassine» la Terre.
Il faut donc la protéger, notre bonne vieille Terre! Alors il est question de diminuer l'électricité des rues, ce que la majorité de personnes âgées regretterait. Monsieur Debrot (l'essor numéro 1 de 2019), que je remercie au passage pour l'excellent historique de la lumière, semble en toucher la raison: la peur.
Oui, nous n'aimons pas l'obscurité dans les rues, trop synonyme de nuit, d'agression, de souffrance et de mort violente si loin du lit douillet où il nous arrive de nous projeter pour le moment de notre mort. Cette mort violente s'inscrit la dernière sur la liste des différentes morts possibles.
La notion de mort s'acquiert en général assez tôt par l'être humain, mais il n’y pense qu'à partir d'un certain âge; voilà pourquoi les personnes âgées ressortent des statistiques dans la catégorie de ceux qui refusent la diminution des lumières dans nos rues.
Néanmoins la personne âgée est bien plus consciente que les problèmes de la Terre tiennent en grande partie au comportement humain. Elle en assume la responsabilité dans sa vie de tous les jours plus rigoureusement, sauf Trump négationniste du changement climatique…