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Juin 2014
Le comité rédactionnel de l’essor se renforce

Nouveaux visages

Lors de sa séance du samedi 24 mai dernier, le comité rédactionnel de l’essor a accueilli deux nouveaux membres: Robert Curtat et Bernard Walter. Bienvenue à eux !

Robert Curtat

Il habite à Lausanne. Né en 1931 au Périgord au cœur d’une famille lyonnaise, c’est à Lyon qu’il entre en typographie en 1947. Marié en 1957 avec Hélène, fidèle compagne, et bientôt journaliste à la «régionale» du Progrès de Lyon où Bernard Clavel est son voisin de marbre. Le départ pour la Suisse intervient en 1963. Dans les dix ans suivant il est secrétaire de rédaction de nuit à la Tribune de Lausanne. C’est dans cette période qu’il rencontre Simenon. Dès 1973 il ouvre un bureau de presse ce qui lui permettra d’être le témoin actif de l’économie suisse jusqu’à la fin du siècle. Naturalisé suisse en 1998, il s’engage dans le soutien du musée de l’imprimerie Encre & Plomb à Chavannes/Renens de 2005 à 2010 avant d’assumer, jusqu’en 2013, le secrétariat de l’Association vaudoise des écrivains. Ecrivain, il a produit une dizaine de livres centrés sur l’histoire sociale ou régionale. Sa dernière publication, en 2014, traite de Célestin Freinet, un pédagogue français au cœur d’un événement porté par la Haute Ecole Pédagogique du canton de Vaud.

Bernard Walter

Sa vie professionnelle s'est déroulée à Genève, ville où il est né. Il a été musicien professionnel et professeur au Collège de Genève, puis il a émigré à la Vallée de Joux où il habite actuellement. Il s’est engagé activement dans un certain nombre de luttes, avec toujours pour fond le combat contre l'exploitation des populations et de la nature. Il a fait partie du comité de rédaction de l'essor il y a une dizaine d'années. Au bout d'un certain temps, il avait l'impression d'être ressenti dans le groupe comme un peu extrémiste et il a quitté le journal, en n'en gardant que de bons souvenirs. Bernard Walter constate que les temps semblent lui donner raison. La situation générale évolue d'une telle manière que le bon sens ne peut que pousser à une forte résistance au système politico-militaro-financier qui gouverne le monde. Il défend l'idée d'une société différente, basée sur les relations de proximité et la solidarité. C'est ainsi qu’il conçoit son engagement au sein du journal l'essor.

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